
Une étrange poupée aux terribles pouvoirs
Esprits, êtes-vous là ?
Depuis l’arrivée d’une étrange poupée, le musée fait face à un sombre dessein : des esprits malins ont pris possession du lieu, et les litanies des saints ne suffisent plus à libérer les corps infestés par le mal.
Le clergé, gangréné de l’intérieur, ne parvient plus à contenir le poison qui se répand dans ses rangs. Une force obscure contraint les résidents du musée à commettre des crimes ignobles et à se détourner du chemin de la lumière.
Affronter ses démons
Un rituel en guise de salut
Totalement dépassés par les événements, les religieux vont tenter un ultime rituel purificateur afin de chasser les esprits malins. Un rituel ancien, dangereux et qui nécessite d'affronter ses propres démons.
Les spectateurs et spectatrices sont alors amenés, de pièce en pièce et de scène en scène, à voir les horreurs qui hantent désormais le musée, afin de ramener tous les éléments nécessaires au rituel et ainsi adjurer les démons de quitter définitivement les lieux.


Grüselnàcht, le spectacle immersif
Vivre l'histoire de l'intérieur
Ce spectacle immersif scénarisé et mis en scène par le Comptoir du Crime pour le Musée Alsacien, en partenariat avec le Festival du Film Fantastique de Strasbourg, a été vécu par 200 personnes lors d’une soirée exceptionnelle : la Grüselnàcht (la Nuit de la Sorcière).
200 privilégiés qui ont pu vivre cette expérience exceptionnelle, immergés dans l'histoire du début jusqu'à la fin, témoins de scènes où leur sang-froid était parfois mis à rude épreuve.
... avec une équipe d'exception !
Un projet exceptionnel
Cet événement a fait appel à une quinzaine de comédiens, deux maquilleurs, trois performeurs (dont deux contorsionnistes), un créateur lumière, un mécanicien (pour faire bouger la tête de la poupée comme dans les films d'horreur) et bien sûr le Comptoir du Crime à la mise en scène, scénarisation et coordination.
Un projet exceptionnel pour un rendu exceptionnel. Un projet d'envergure qui restera longtemps dans nos mémoires et, on l'espère, dans celui des spectateurs et spectatrices.
